Premières impressions à chaud…
Bien qu’ayant pas mal déjà voyagé à travers l’Asie, j’ai été marquée par certains faits. Contrairement à Stéphane qui est déjà venu pour des vacances 2 fois 15 jours, c’est la première fois que je découvre l’Inde. Voici livrés tels quels les points qui m’ont marqués :
– les Indiens dodelinent très souvent de la tête. C’est un mouvement que nous ne faisons jamais et donc ca m’amuse beaucoup. La signification n’est pas claire, même si notre interprétation pourrait nous indiquer un « non », et bien ici cela veut plutôt dire « oui » ou « peut-être ».
– j’ai aussi bien aimé en arrivant dans l’immeuble de la compagnie dans laquelle je passais les entretiens, les personnes au niveau des 2 côtés des ascenseurs, employées pour appuyer sur les boutons de ceux-ci pour les appeler. Mais ce n’est pas tout car une fois dans l’ascenseur, une autre personne est là pour vous demander votre étage et appuyer sur le bouton correspondant. J’ai trouvé ca excellent ! En plus je me dis que c’est pas mal, ca créée de l’emploi tout ca. Du côté des petits jobs, j’ai aussi été étonnée de voir une femme, sur le bas côté de la route, en plein milieu d’une circulation intense et très dangereuse, balayer cette route…
– ce qui est frappant aussi ici, c’est le sens du service. C’est limite parfois un peu trop pour nous. Par exemple, à l’hôtel, le personnel nous demande au moins plusieurs fois par jour comment on se sent, si tout va bien pour nous, s’il ne nous manque rien. Pour cela, ils nous ont appelés dans la chambre, ou encore ils viennent frapper à la chambre, ils nous demandent plusieurs fois si tout est ok pendant le petit-dej, le repas… comme on n’est pas trop habitués, on trouve ça « too much » parfois, mais bon ca part de bonnes intentions…
– au niveau de la circulation, outre le fait que les routes sont parfois embouteillées, ce qui est frappant, c’est la conduite au klaxon. Tout le monde y va du sien et cela donne une cacophonie impressionnante. Je pense qu’un point clé pour la recherche de logement sera de ne pas être au bord d’une route passante car ca peut vite devenir un cauchemar.